Vu par Salomé
La période de confinement que nous avons vécue de mars à mai 2020, peut être analysée comme une expérience grandeur nature d’une modification drastique de nos modes de vie. Des résultats sur la faune et la flore, notamment en ville, ont en effet pu être observés. Des animaux, habituellement cachés, sont apparus, les chants d'oiseaux ont pu être entendus et les odeurs du printemps ont pu être senties. La nature a repris ses droits, elle est réapparue là où elle était chassée: cela nous a permis de nous rendre compte des effets de l'activité humaine sur la biodiversité.
Reporterre revient, dans cet article, sur les bienfaits de cette période de calme sur la biodiversité animale et de ses effets à long terme.
Site Reporterre. Article “Le confinement un répit pour les animaux sauvages”. 24 mars 2020. Lorène Lavocat.
L'association espagnole Xaloc a mis en place, pendant le confinement, l'initiative “Censando Cetáceos desde Casa”. Il s’agit d’un programme de recherche collaborative à laquelle tout.e citoyen.ne peut participer. En effet, grâce à la diminution du trafic maritime les dauphins se sont rapprochés du littoral et il a ainsi été possible de les observer et de les recenser depuis les côtes. Une belle initiative qui permet de profiter des effets du confinement, pour continuer le travail de conservation de la biodiversité animale.
Association Xaloc, basé à Valencia en Espagne.
Greenpeace est l’une des associations pionnières à s’être engagée pour la conservation de la biodiversité marine. Au travers du podcast “Greenpeace Expérience”, ils nous emmènent à bord de l’Esperanza, au sein de leur expédition “Protect the Ocean”. Elle consiste à répertorier la mégafaune des eaux guyanaises, à mettre en lumière toutes les richesses de l’océan et à dénoncer les menaces qui pèsent sur lui. 5 épisodes de moins de 10 min pour une immersion complète à bord de l’Esperanza !
Association GreenPeace. Podcast “GreenPeace Expérience”.
